Timar augmente son CA consolidé de 26% à fin septembre

Le chiffre d’affaires (CA) consolidé du groupe Timar s’est élevé à 494 millions de dirhams (MDH) à fin septembre dernier, en progression de 26% par rapport à la même période de 2021.

Cette performance s’explique par la hausse de la volumétrie sur les principaux métiers et filiales du Groupe, indique Timar dans un communiqué sur ses indicateurs financiers.

La croissance du CA consolidé du troisième trimestre a atteint 31% à 166 MDH, impacté très favorablement par les volumes traités sur le segment Route au Maroc.

Pour sa part, le CA social a augmenté de 29% à 315 MDH, grâce à la croissance significative du nombre d’opérations traitées sur la Route et le Transit et à la hausse des ventes en valeur sur l’Overseas. Le troisième trimestre a enregistré ainsi une croissance de 41% du CA à 111 MDH porté principalement par l’activité de commissionnaire Route.

Au cours du T3, le nombre de dossiers traités a augmenté de près de 15% tant en consolidé qu’en social, grâce à la très bonne tenue des activités de commissionnaire Route.

Ainsi, au terme de la période, les volumes sont en hausse de 17% en consolidé et de 19% en social, fait savoir le communiqué, notant que les principales filiales du Groupe ont contribué à cette performance.

Côté investissements du Groupe, ils se sont élevés à 9,3 MDH à fin septembre, en hausse de 15% comparés à la même période de l’exercice 2021. La maison mère concentre l’essentiel de ces investissements qui concernent principalement les installations et aménagements réalisés pour le nouveau siège régional de Tanger ainsi que l’achat de tracteurs.

L’endettement financier net consolidé du Groupe ressort, quant à lui, négatif à 1 MDH à fin septembre. Cette performance s’explique par le redressement très net des excédents de trésorerie lié à une gestion prudente des crédits clients en particulier au niveau de la maison mère.

En social, l’endettement financier net total a baissé de 58% à 22 MDH, impacté positivement par l’amélioration de la trésorerie nette ainsi que la baisse des emprunts bancaires à moyen et long terme.