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L’accord social, la bonne tenue de l’activité bancaire, la nouvelle campagne de l’Office National Marocain du Tourisme (ONMT) et l’offre Royal Air Maroc (RAM) pour l’été sont parmi les principaux sujets qui retiennent l’attention de la presse économique hebdomadaire.
Ainsi, “la Vie Eco” revient sur l’accord social, signé entre le gouvernement, la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et les centrales syndicales les plus représentatives, relevant que “la signature de cet accord est à marquer d’une pierre blanche”.
Et de souligner que “le gouvernement a tenu à conclure un accord social, avec ses implications financières pour le budget de l’Etat, et la trésorerie des entreprises, dans une conjoncture nationale et internationale très difficile”.
“Après deux mois de négociations et l’implication de plusieurs départements ministériels, dont la justice, l’intérieur, la santé et la protection sociale, en plus du département chargé de l’insertion professionnelle, celui chargé de la réforme de l’administration et surtout celui en charge du budget, les trois partenaires sociaux ont enfin apposé leur signature en bas de cet accord”, écrit l’hebdomadaire.
Sur un autre registre, “La Vie Eco” fait état d’une bonne tenue de l’activité bancaire, précisant que sur une année glissante, l’encours des crédits a augmenté de 4,1% et celui de dépôts de 6,5%.
Cette progression recouvre une hausse de 7,8% de l’encours des crédits de trésorerie, ce qui signifie que les entreprises continuent de recourir au financement pour faire face au déficit de leurs trésoriers, étant donné que le contexte économique national, bien qu’en amélioration, continue de subir les effets de la pandémie, estime la même source.
Le crédit à la consommation ressort également en hausse de 2,4% à 227 milliards de dirhams (MMDH), tout comme les prêts immobiliers qui ont vu leur encours gagner 2,7% en une année pour s’établir à 293 MMDH, précise l’hebdomadaire.
Sous le titre, “le télétravail, premier pas d’une transformation profonde des relations de travail”, “Challenge” écrit que ce mode de travail au Maroc gagne en popularité, en parallèle avec l’accélération de la digitalisation des entreprises dans le sillage de la crise sanitaire.
“C’est là un processus de transformation qui se révèle nécessaire et irréversible. Cette évolution présente aussi bien des avantages que des inconvénients détaillés”, indique l’auteur de l’article.
Au niveau de la productivité, “selon de nombreuses recherches, il a été constaté que ceux qui travaillent à domicile sont plus satisfaits de leur travail et y contribuent beaucoup mieux. L’atmosphère dans un bureau est généralement stressante et contraignante”, écrit challenge.
En revanche, parmi les aspects négatifs du télétravail, l’hebdomadaire cite la forte pression provenant de l’entourage familial pour le télétravailleur, la propension à développer une forme d’isolement et la difficulté à interagir socialement avec d’autres collègues n’étant pas en télétravail.
Par ailleurs, “Challenge” a jeté la lumière sur l’offre été 2022 de Royal Air Maroc, précisant que pour accompagner la reprise du trafic, la compagnie nationale aérienne renforce son programme de vols pour la saison d’été 2022, avec 6 millions de sièges sur 80 liaisons aériennes à travers les quatre continents.
“La RAM précise qu’en tant qu’acteur majeur du tourisme national et premier transporteur de touristes internationaux au Maroc, la compagnie nationale consacre 80% de ses sièges à des destinations touristiques”, fait observer la publication.
Pour sa part, “le Temps” a mis en avant la nouvelle campagne “Maroc Terre de lumière” qui vient “compléter le rebranding graduel opéré par l’ONMT” à travers trois signatures que sont la marque Corporate “Tourism in Action”, dédié au B2B, la marque “Ntla9awfBladna” pour le tourisme interne et “Maroc terre de lumière”.
La campagne s’est fixée comme objectif central de promouvoir le tourisme marocain à travers le monde. Pensée à travers trois composantes que sont la nouvelle identité de la marque Maroc, un grand film d’image et de nombreuses déclinaisons en affichage, “la campagne est en rupture avec les codes traditionnels”, écrit “Le temps”.